A l’occasion du quatrième voyage du président Jacques Chirac en Chine arrivé à Pékin le 25 octobre, nous mettons en ligne un texte sur l’histoire des relations entre la France et la Chine écrit en octobre 2004 lors de son précédent séjour.
Action Francophone Internationale (AFI)
Articles les plus récents
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L’histoire des relations entre la France et la Chine.
26 octobre 2006, par Jean Dubois -
Le fameux discours sur la télévision d’ Edward R. Murrow, en français.
6 octobre 2006, par Julien DebenatLe film "good night, and good luck" de Georges Clooney, s’ouvre et s’achève sur le discours du célèbre journaliste américain Edward R. Murrow devant la "Broadcasters’ trade-association Convention" en 1956. Le présentateur vedette de CBS emploie tout son talent à promouvoir une information qui enseigne plutôt qu’elle ne divertit. Cinquante ans plus tard, nous vous en proposons une version française, traduite par nos soins.
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Edito d’octobre 2006 : Je te passe le baratin !
1er octobre 2006, par Julien Debenat"Baratin", argot des voleurs, début du 20ème siècle : "portefeuille vide que la main du voleur passe à son complice, au lieu de celui qu’elle a tiré."
Synonymes : mensonges, histoires, salades, bluff, laïus, bavardage, sermon, harangue, topo, etc.
Principe du jeu : dans tout ce qui va suivre, à vous de trouver les baratins. Envoyez vos réponses en répondant à l’article. -
Gildas Trévetin : un écrivain breton hors du commun.
30 septembre 2006, par Jacqueline Gétain-JacobCe n’est pas son handicap lourd qui empêche Gildas de se battre, de militer, de vivre, ni d’écrire.
Il ne peut lui-même ni écrire, ni utiliser internet, aussi je me fais son porte-parole.Un polar où la culture bretonne, l’histoire locale et la politique sont mises en lumière grâce à un regard perspicace.
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Discours de Jean Jaurès (Lille,1900)
18 septembre 2006, par Jean DuboisDans le contexte de désunion de la gauche française, est-il anachronique de revenir aux sources mêmes du socialisme en lisant ou relisant la parole de celui qui fut un homme politique exemplaire dont les actes suivaient toujours la pensée jusqu’à le payer de sa propre vie ?
Mais ne nous trompons pas, à cet homme ou cette femme dont la France a besoin aujourd’hui, un tempérament d’action ne suffit pas, encore faut-il que les idées défendues ne soient pas celles d’une France conservatrice voulant se rassurer en choisissant un rétablisseur d’ordre plutôt qu’un réformateur courageux.
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Edito : Retour sur l’été 2006 : De la facilité de la violence.
7 septembre 2006, par Jean DuboisUn regard rétrospectif sur l’été qui vient de s’écouler met en évidence que c’est malheureusement comme toujours le principe d’une violence facile qui a dominé certains événements de notre planète bleue.
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Le prophète par Khalil Gibran
4 août 2006, par Jean DuboisLe crime contre l’humanité le plus inacceptable reste bien le sacrifice d’enfants innocents comme l’a montré le drame de Cana lors du bombardement du village libanais par un raid israélien le 30 juillet dernier.
Où se trouve donc la justice lorsque l’Etat Hébreu bénéficie dans son offensive d’une certaine tolérance occidentale complice et lorsque le Hezbollah de l’autre côté utilise cyniquement les civils comme bouclier humain jouant avec l’impact médiatique sur l’opinion mondiale de la tragédie du peuple libanais ?
Dans ce contexte, nous choisissons ici de partager un texte spirituel sur la notion de crime (extrait du livre "Le prophète") du célèbre poète libanais Khalil Gibran (1883-1931) qui déjà à son époque dénonçait l’instrumentalisation politique du Liban par les puissances étrangères, pays qui a notamment mêlé son destin avec la France et la francophonie :
"Vous avez votre Liban avec tous les conflits qui y sévissent. J’ai mon Liban avec les rêves qui y vivent.
Votre Liban est un noeud politique que les années tentent de défaire. Mon Liban est fait de collines qui s’élèvent avec prestance et magnificence vers le ciel azuré.
Votre Liban est un problème international tiraillé par les ombres de la nuit. Mon Liban est fait de vallées silencieuses et mystérieuses dont les versants recueillent le son des carillons et le frisson des ruisseaux."
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Edito : L’art de réunir les êtres est dans le savoir s’éclipser.
1er juillet 2006, par Julien DebenatL’entraîneur Aimé Jacquet, après 1998, a écrit dans son livre-interview "Ma vie pour une étoile", à propos de la foule en liesse que traversait le bus des bleus : « Quel plaisir de voir ces gens venus de toutes parts dans le seul but de témoigner leur joie, avec écharpes et banderoles ! Une foule multicolore, multiraciale, à l’image de notre équipe de France d’aujourd’hui, une foule où se mêlent dans une même ferveur, sans arrière-pensées, des gens de tous milieux, de toutes origines, de toutes croyances qui, hier encore, s’ignoraient peut-être, quand ils ne se regardaient pas en chiens de faïence ». Quatre ans plus tard, en 2002, c’était l’énorme déception. C’est ainsi, dit-on, la roue tourne. Hier vous étiez utiles, adulés, vivants, aujourd’hui, bonsoir, vous n’êtes plus rien, circulez... Et pourtant les bleus sont de retour !
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Histoire de France. Michel Manouchian : 23 étrangers et nos frères pourtant.
23 juin 2006, par Jacqueline Gétain-JacobLe 21 février 1944 22 étrangers résistants, FTP-MOI, étaient fusillés au Mont Valérien.
Le chef de ce groupe, Michel Manouchian, était arménien. Un combattant et aussi un poète. Il a écrit, juste avant de mourir, une lettre admirable à sa compagne Mélina. Aragon en a fait un poème qui doit sa célébrité à Léo Ferré qui l’a chanté sur une musique qu’il a lui-même composée. -
Le possédé du percepteur par Raymond Devos
23 juin 2006, par Yann SupionLa coupe du monde fait plus de bruit que la mort de RAYMONDS DEVOS c’est pas croyable !!!
Cet homme aux multiples facettes, cet architecte des mots poétiques en fusions, vérités lancées sur l’archer de sa scie musicale, de ses mots à l’envers à l’endroit venus tout droit de nulle part et d’ailleurs, splendeur dans le déséquilibre de l’équilibre, ce maître mots qui nous rendaient motus et bouche cousue avec une fraîcheur lucide tel un jardin fleurissant aux mille arômes. Aujourd’hui prenons conscience que nous avons perdu un grand homme, un homme lucide dans ce monde décousu.
Voici en ligne pour l’AFI un des plus fameux textes ainsi que quelques jeux de mots et d’esprit d’un génie de la francophonie.
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